đŸ©ș Interview exclusive – Pr. CĂ©rĂ©mor Sylvain, neurologue et spĂ©cialiste en neuro-rockologie appliquĂ©e

L'autre jour, en surfant sur le Net à moitiĂ© endormi Ă  2h du mat', on est tombĂ©s sur une perle rare : une interview d’un neurologue renommĂ© qui parle des effets de NITROCASTER sur le cerveau humain. Oui, apparemment, on stimule les mĂȘmes zones que le chocolat noir, les montagnes russes, et les chansons qui donnent des frissons.

On vous jure que c’est vrai. Enfin
 sur internet, tout est vrai, non ? 😏

"Neuropotes Hebdo : Professeur Sylvain, merci de nous accorder cette interview. On vous a vu rĂ©cemment au premier rang d’un concert de NITROCASTER. Un avis mĂ©dical sur ce que vous avez observĂ© ? 

Pr. Sylvain : Clairement, nous sommes face Ă  un phĂ©nomĂšne neurologique inĂ©dit. Le cortex auditif est sollicitĂ© Ă  un niveau que je qualifierais de “psychoriffique”. J’ai mesurĂ© chez moi une saturation de dopamine Ă©quivalente Ă  celle d’un orgasme cĂ©rĂ©bral
 ou d’un trĂšs bon cassoulet.

NH : Est-il vrai que leurs concerts déclencheraient des états modifiés de conscience chez leurs fans ? 

Pr. Sylvain : Absolument. J’ai recensĂ© des tĂ©moignages de gens qui affirment avoir vu leur passĂ©, leur futur et un renard cosmique pendant le solo de “Antisocial”. La glande pinĂ©ale, supposĂ©e inactive chez l’adulte, s’illumine comme un sapin de NoĂ«l sous leur son.

NH : Et chez les membres du groupe eux-mĂȘmes ? 

Pr. Sylvain : Fascinant. J’ai tentĂ© de scanner l’activitĂ© cĂ©rĂ©brale de leur batteur pendant le refrain de "Should I stay or should I go". Le scanner a fondu. LittĂ©ralement. Il faut comprendre que NITROCASTER mobilise l’hĂ©misphĂšre droit, le gauche, et probablement un lobe secret que la mĂ©decine n’a pas encore nommĂ© — moi je l’appelle le gyrus rockus.

NH : Des effets secondaires possibles pour les fans ? 

Pr. Sylvain : En dehors de coups de foudre incontrĂŽlĂ©s, de mouvements de hanches incontrĂŽlĂ©s, et d’un goĂ»t soudain pour les vestes en velours ou les collants fluos
 aucun. Le seul danger, c’est de ne plus jamais pouvoir Ă©couter autre chose. Une fois que NITROCASTER a connectĂ© ses amplis Ă  votre cervelet, c’est fini. Vous ĂȘtes reformatĂ©.

NH : Un dernier mot ? 

Pr. Sylvain : Oui. Si vous entendez des riffs en rĂȘve, ce n’est pas un bug. C’est un symptĂŽme. Faites-vous scanner. Ou mieux : allez au prochain concert."